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Le G, Franc-Maçon c’est envolé en silence, en toute discrétion, et sans gloire d’aucune sorte. Une bien étrange disparition.
Lorsque l’on interroge les frères Maçon dans le secret ou non, inévitablement il y a cette question qui revient inlassablement, que signifie la lettre G. Ce n’est jamais une réponse que l’on obtient mais une confusion d’explication, d’exception historique, d’interprétation cultuelle, et en fin de compte un fatras de spéculation ésotérique, mais pas de réponse, a croire qu’elle n’existe plus. Pourtant.
Chez des bâtisseurs bien organiser rencontrer tant d’approximation, dans le cœur même de leur symbolique, pose questions. Et selon sa sensibilité ou son aversion a la vérité, il y a la de quoi être irrité, ou pour le moins contrarier.
Mais avant d’aller plus loin dans le secret, il essentiel de perdre sa passion et de reprendre conscience.
Il n’est pas vain de rappeler qu’il y a aujourd’hui plus d’opératifs dans le mouvement Maçonnique, et qu’un courant nouveaux les transforme silencieusement et sournoisement en cénobite adorateur de lettrine. Ce n’est pas que le travail fut mal fait. Bien au contraire.
Pourtant ce n’est pas à un problème de connaissance, mais a un problème de compréhension, et cela change tout. En effet rechercher la réponse à ce G dans l’histoire est un manque de conscience , un défaut de compréhension du mouvement lui même.
Nous sommes là au cœur de l’identité de l’œuvre